Saturday, April 16, 2016

Rien, comme la vie, n'empêche de vivre, la vie telle qu'elle est organisée, structurée par et dans la société de ces dégénérés que sont les êtres humains.

Chez les êtres inférieurs, pas de vie commmunautaire; tout au plus une vie sociale, sociétale, quand il ne s'agirait tout bêtement d'une vie grégaire.

L'Histoire des êtres humains est, tant sur le plan ontogénétique qu'au niveau phylogénétique celle d'une constante dégradation, celle d'une décomposition dont on croit régulièrement que le stade ultime en est atteint, mais malheureusement on se trompe sans cesse et on n'en finit de se tromper.

La générosité dans l'opulence, encore qu'elle ne soit même là guère fréquente, est à la portée de n'importe qui; ce qu'il faut, c'est la générosité dans le dénuement le plus total.

L'expression générosité dans le dénuement le plus total a, bien entendu, tout l'air d'une contradiction, voire d'un paradoxe; en fait, il s'agit d'une tautologie: c'est à cette seule condition, celle d'un extrême dénuement, que la générosité peut naître.

Une attitude de modestie, que l'on ne confondra avec la modestie même, que l'on ne tiendra pas forcément pour synontme de la modestie même, même si elle ne s'y oppose pas nécessairement, n'a bien souvent rien à voir avec de la modestie dans son invisible éclat; ce serait plutôt 








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