Ce n'est pas la mort elle-même qui effraie , mais la représentation que l'on s'en fait.
Il y a dans la mort, dans le mourir de la mort,dans cet événement qui n'en est pas un ,dans ce saut (in)volontaire hors du réel,quelque chose de honteux,comme si l'on commettait une faute, un acte disgracieux : vienne le jour où les êtres humains comprendront qu'il leur faut éloigner de tous,et non seulement de tout vivant, la présence de leur corps inerte et pitoyable.
Tuesday, January 31, 2012
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