Saturday, August 17, 2013

Le régime le plus cruel et dictatorial qui soit ne saurait inquièter ceux assurés de n'en devoir absolument rien jamais craindre, qui, quant à eux, pourraient fort bien se croire en démocratie.

Ce n'est pas en votant de nouvelles lois et en en amendant d'autres que l'on obtient quelque changement de comportement, mais en travaillant la langue, les langues.

Le dimanche matin,
Le calme;
Le Seigneur se repose,
Les hommes aussi,
Peut-être parce qu'ils veulent faire comme le Seigneur,
Parce qu'ils se croient divins, eux aussi,
Ou tout simplement parce qu'ils sont fatigués,
A moins qu'ils ne cèdent à la paresse;
Tout simplement.
Presque partout dans le monde,
Les dimanches matin se ressemblent.
Et tandis que certains (la plupart?) se reposent, paressent,
D'autres se pressent à l'église,
D'autres encore ne se refusent,
Quelle que soit la saison,
 Les joies d'une promenade
Dans les rues désertes,
Dans un parc presque désert également,
Mais il en est
Pour qui le dimanche,
Ce n'est qu'un jour comme les autres;
Le travail continue,
Contraint surtout,
Mais également, ici et là,
Dieu en soit loué!
Libre.




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