Voir enfin, ou encore entendre, quelqu'un que l'on ne connaît que de loin, pour l'avoir lu par exemple, ou pour en avoir entendu parler, en termes fort élogieux bien évidemment, cela peut réserver plus d'une surprise, cela peut même s'avérer extrêmement frustrant, quand cela ne causerait une inavouable douleur, laquelle, parfois, ne serait comparable qu'à celle que l'on éprouverait en rencontrant la personne même, tant il est vrai que la personne que l'on croit, que l'on s'imagine, n'est jamais la personne même, encore qu'il parfois-------------mais il s'agit là d'exceptions, sinon d'illusions, -------------advienne qu'elle est bien supérieure à ce que l'on prévoyait, mais la réaction, qui a l'air de s'imposer dans de tels cas, semble presque toujours osciller entre l'enthousiasme et la déception, et il n'est point difficile de comprendre pourquoi il en est ainsi.
Les gens ne sont pratiquement jamais conformes à l'idée qu'on se fait d'eux, mais c'est parce que, aristotélicien sans le savoir, on se croit obligé de se représenter les gens soit supérieurs , soit inférieurs à ce qu'ils sont effectivement dans la réalité même; mais Aristote, lui, parlait de la fiction, alors que.................
Sunday, February 24, 2013
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