A s'en tenir à ce qu'on entend le plus fréquemment autour de soi, on finirait par se persuader que seuls aiment leur métier, seuls savent ce qu'est la conscience professionnelle ceux qui, pour assurer leur gagne-pain, font souffrir les autres et même les tuent.
On n'invoque, en guise de justification, le travail, le devoir que quand on a commis quelque chose de bas et d'impardonnable, mais quand on s'est rendu coupable d'une infamie, on ferait mieux de fermer sa gueule au lieu d'en rajouter.
Saturday, December 21, 2013
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