Une succession d'erreurs, de fautes et de méprises, de regrets aussi, quelle connerie la vie, connerie dont on est tous, (presque?) tous, sans doute, responsable(s), mais c'est toujours les autres que l'on en sans cesse incrimine.
La mémoire, c'est aussi la faculté de confondre les lieux et les dates qu'ainsi elle éloigne davantage du champ de perception, accentuant le sentiment douloureux et triste d'une perte jamais complètement achevée, mais toujours grandissante.
On ne doit jamais ses succès à soi seul, mais on est seul responsable de ses échecs, et c'est là quelque chose d'effrayant.
Monday, June 30, 2014
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