Tuesday, June 12, 2018


Ne vous évertuez à faire plaisir à autrui; autrui n'en demande pas tant. Et puis n'importe comment, vous risquez fort de n'y parvenir

Il est difficile de ne point chercher à plaire aussi longtemps qu'on n'a pas réussi à tuer (le veut- on cependant?) le saltimbanque en soi.

On se montre d'autant plus con et ridicule, qu'on cherche à faire étalage de sa science

Ceux qui exercent quelque autorité se plaignent de qu'on les critique quand ils en abusent et veulent jouir d'une totale liberté pour abuser de l'autorité que leur confèrent les fonctions qu'ils font semblant d'exécuter; et condamnent le manque de coopération du public quand devient trop évidente leur incapacité à se révéler à la hauteur des fonctions qu'ils ont eux- mêmes réclamées, n'ignorant quels avantages l'on en peut tirer

Est- ce parce que j'ai passé beaucoup de temps dans l'enseignement? Toujours est- il que c'est dans ce domaine que j'ai rencontré-----je n'ai pas dit: qu'il y a----- le plus grand nombre d'imbéciles, d'ignorants, de gens malhonnêtes, de malades mentaux. Est- ce parce que je ne me suis jamais considéré comme étant, moi- même, un enseignant?

On aura remarqué que dans bien des pays les gens ne s'intéressent aucunement à la politique économique du gouvernement, mais c'est peut- être parce qu'ils savent que, quand ils auraient un gouvernement, ce n'est pas ce dernier qui conçoit et dicte la politique économique qui leur est imposée.

Une banque centrale, reconnaissons- le, a son importance. Toutefois, l'on se peut demander si, dans un pays où la monnaie nationale n'est pas souveraine, ne suffit une officine du ministère des Finances et de l'Economie

Ils vivent dans des taudis, mais s'imaginent évoluer dans des châteaux; ils sont opprimés, mais sont convaincus d'être libres.Sed amentes sunt isti. Et si l'univers n'était, au fond, qu'un vaste asile d'aliénés?

Ils vivent dans des taudis, mais s'imaginent évoluer dans des châteaux; ils sont opprimés, mais sont convaincus d'être libres.Sed amentes sunt isti. Et si l'univers n'était, au fond, qu'un vaste asile d'aliénés?

Ses désirs à soi à soi- même inconnus demeurent; inconnus, étrangers, énigmatiques, enfouis sous les palimpsestes des rêves, dissimulés, avec et sans sa propre complicité, laquelle, toujours plus ou moins inconsciente, à soi- même toujours échappe, dans les tréfonds infernaux de ses fantasmes parfois entraperçus, mais sans que jamais on n'en sache rien, et l'on y, avec une nonchalance dont le ridicule ne se laissera deviner que longtemps après, substitue divers emprunts encou...ragés par le jeu des identifications avec ce et ceux qui à soi extrinsèques sont, et dont la laideur n'apparaîtra qu'au crépuscule de la vie, si on a la chance, ou la malchance, de vivre jusque- là, et l'on se met alors, si on en a la force, une force inquiète et lasse, à trépigner, à se maudire jusqu'à ce que l'on crève, pleinement conscient de soi peut- être enfin, mais conscient surtout de n'avoir passé sa vie qu'à la bousiller, qu'à la ruiner., sans savoir si l'on a, ou non, ne serait- ce qu'inconsciemment, réalisé ce qu'au fond de soi- même l'on n'aura jamais cessé de désirer.encou... encou...ragés par le jeu des identifications avec ce et ceux qui à soi extrinsèques sont, et dont la laideur n'apparaîtra qu'au crépuscule de la vie, si on a la chance, ou la malchance, de vivre jusque- là, et l'on se met alors, si on en a la force, une force inquiète et lasse, à trépigner, à se maudire jusqu'à ce que l'on crève, pleinement conscient de soi peut- être enfin, mais conscient surtout de n'avoir passé sa vie qu'à la bousiller, qu'à la ruiner., sans savoir si l'on a, ou non, ne serait- ce qu'inconsciemment, réalisé ce qu'au fond de soi- même l'on n'aura jamais cessé de désirer.ragés par le jeu des identifications avec ce et ceux qui à soi extrinsèques sont, et dont la laideur n'apparaîtra qu'au crépuscule de la vie, si on a la chance, ou la malchance, de vivre jusque- là, et l'on se met alors, si on en a la force, une force inquiète et lasse, à trépigner, à se maudire jusqu'à ce que l'on crève, pleinement conscient de soi peut- être enfin, mais conscient surtout de n'avoir passé sa vie qu'à la bousiller, qu'à la ruiner., sans savoir si l'on a, ou non, ne serait- ce qu'inconsciemment, réalisé ce qu'au fond de soi- même l'on n'aura jamais cessé de désirer.

Ne vous évertuez à faire plaisir à autrui; autrui n'en demande pas tant. Et puis n'importe comment, vous risquez fort de n'y parvenir

Il est difficile de ne point chercher à plaire aussi longtemps qu'on n'a pas réussi à tuer (le veut- on cependant?) le saltimbanque en soi.

On se montre d'autant plus con et ridicule, qu'on cherche à faire étalage de sa science

Ceux qui exercent quelque autorité se plaignent de qu'on les critique quand ils en abusent et veulent jouir d'une totale liberté pour abuser de l'autorité que leur confèrent les fonctions qu'ils font semblant d'exécuter; et condamnent le manque de coopération du public quand devient trop évidente leur incapacité à se révéler à la hauteur des fonctions qu'ils ont eux- mêmes réclamées, n'ignorant quels avantages l'on en peut tirer

Est- ce parce que j'ai passé beaucoup de temps dans l'enseignement? Toujours est- il que c'est dans ce domaine que j'ai rencontré-----je n'ai pas dit: qu'il y a----- le plus grand nombre d'imbéciles, d'ignorants, de gens malhonnêtes, de malades mentaux. Est- ce parce que je ne me suis jamais considéré comme étant, moi- même, un enseignant?

On aura remarqué que dans bien des pays les gens ne s'intéressent aucunement à la politique économique du gouvernement, mais c'est peut- être parce qu'ils savent que, quand ils auraient un gouvernement, ce n'est pas ce dernier qui conçoit et dicte la politique économique qui leur est imposée.

Une banque centrale, reconnaissons- le, a son importance. Toutefois, l'on se peut demander si, dans un pays où la monnaie nationale n'est pas souveraine, ne suffit une officine du ministère des Finances et de l'Economie

Ils vivent dans des taudis, mais s'imaginent évoluer dans des châteaux; ils sont opprimés, mais sont convaincus d'être libres.Sed amentes sunt isti. Et si l'univers n'était, au fond, qu'un vaste asile d'aliénés?

Ils vivent dans des taudis, mais s'imaginent évoluer dans des châteaux; ils sont opprimés, mais sont convaincus d'être libres.Sed amentes sunt isti. Et si l'univers n'était, au fond, qu'un vaste asile d'aliénés?

Ses désirs à soi à soi- même inconnus demeurent; inconnus, étrangers, énigmatiques, enfouis sous les palimpsestes des rêves, dissimulés, avec et sans sa propre complicité, laquelle, toujours plus ou moins inconsciente, à soi- même toujours échappe, dans les tréfonds infernaux de ses fantasmes parfois entraperçus, mais sans que jamais on n'en sache rien, et l'on y, avec une nonchalance dont le ridicule ne se laissera deviner que longtemps après, substitue divers emprunts encou...ragés par le jeu des identifications avec ce et ceux qui à soi extrinsèques sont, et dont la laideur n'apparaîtra qu'au crépuscule de la vie, si on a la chance, ou la malchance, de vivre jusque- là, et l'on se met alors, si on en a la force, une force inquiète et lasse, à trépigner, à se maudire jusqu'à ce que l'on crève, pleinement conscient de soi peut- être enfin, mais conscient surtout de n'avoir passé sa vie qu'à la bousiller, qu'à la ruiner., sans savoir si l'on a, ou non, ne serait- ce qu'inconsciemment, réalisé ce qu'au fond de soi- même l'on n'aura jamais cessé de désirer.encou... encou...ragés par le jeu des identifications avec ce et ceux qui à soi extrinsèques sont, et dont la laideur n'apparaîtra qu'au crépuscule de la vie, si on a la chance, ou la malchance, de vivre jusque- là, et l'on se met alors, si on en a la force, une force inquiète et lasse, à trépigner, à se maudire jusqu'à ce que l'on crève, pleinement conscient de soi peut- être enfin, mais conscient surtout de n'avoir passé sa vie qu'à la bousiller, qu'à la ruiner., sans savoir si l'on a, ou non, ne serait- ce qu'inconsciemment, réalisé ce qu'au fond de soi- même l'on n'aura jamais cessé de désirer.ragés par le jeu des identifications avec ce et ceux qui à soi extrinsèques sont, et dont la laideur n'apparaîtra qu'au crépuscule de la vie, si on a la chance, ou la malchance, de vivre jusque- là, et l'on se met alors, si on en a la force, une force inquiète et lasse, à trépigner, à se maudire jusqu'à ce que l'on crève, pleinement conscient de soi peut- être enfin, mais conscient surtout de n'avoir passé sa vie qu'à la bousiller, qu'à la ruiner., sans savoir si l'on a, ou non, ne serait- ce qu'inconsciemment, réalisé ce qu'au fond de soi- même l'on n'aura jamais cessé de désirer.

Ne vous évertuez à faire plaisir à autrui; autrui n'en demande pas tant. Et puis n'importe comment, vous risquez fort de n'y parvenir

Il est difficile de ne point chercher à plaire aussi longtemps qu'on n'a pas réussi à tuer (le veut- on cependant?) le saltimbanque en soi.

On se montre d'autant plus con et ridicule, qu'on cherche à faire étalage de sa science

Ceux qui exercent quelque autorité se plaignent de qu'on les critique quand ils en abusent et veulent jouir d'une totale liberté pour abuser de l'autorité que leur confèrent les fonctions qu'ils font semblant d'exécuter; et condamnent le manque de coopération du public quand devient trop évidente leur incapacité à se révéler à la hauteur des fonctions qu'ils ont eux- mêmes réclamées, n'ignorant quels avantages l'on en peut tirer

Est- ce parce que j'ai passé beaucoup de temps dans l'enseignement? Toujours est- il que c'est dans ce domaine que j'ai rencontré-----je n'ai pas dit: qu'il y a----- le plus grand nombre d'imbéciles, d'ignorants, de gens malhonnêtes, de malades mentaux. Est- ce parce que je ne me suis jamais considéré comme étant, moi- même, un enseignant?

On aura remarqué que dans bien des pays les gens ne s'intéressent aucunement à la politique économique du gouvernement, mais c'est peut- être parce qu'ils savent que, quand ils auraient un gouvernement, ce n'est pas ce dernier qui conçoit et dicte la politique économique qui leur est imposée.

Une banque centrale, reconnaissons- le, a son importance. Toutefois, l'on se peut demander si, dans un pays où la monnaie nationale n'est pas souveraine, ne suffit une officine du ministère des Finances et de l'Economie

Ils vivent dans des taudis, mais s'imaginent évoluer dans des châteaux; ils sont opprimés, mais sont convaincus d'être libres.Sed amentes sunt isti. Et si l'univers n'était, au fond, qu'un vaste asile d'aliénés?

Ils vivent dans des taudis, mais s'imaginent évoluer dans des châteaux; ils sont opprimés, mais sont convaincus d'être libres.Sed amentes sunt isti. Et si l'univers n'était, au fond, qu'un vaste asile d'aliénés?

Ses désirs à soi à soi- même inconnus demeurent; inconnus, étrangers, énigmatiques, enfouis sous les palimpsestes des rêves, dissimulés, avec et sans sa propre complicité, laquelle, toujours plus ou moins inconsciente, à soi- même toujours échappe, dans les tréfonds infernaux de ses fantasmes parfois entraperçus, mais sans que jamais on n'en sache rien, et l'on y, avec une nonchalance dont le ridicule ne se laissera deviner que longtemps après, substitue divers emprunts encou...ragés par le jeu des identifications avec ce et ceux qui à soi extrinsèques sont, et dont la laideur n'apparaîtra qu'au crépuscule de la vie, si on a la chance, ou la malchance, de vivre jusque- là, et l'on se met alors, si on en a la force, une force inquiète et lasse, à trépigner, à se maudire jusqu'à ce que l'on crève, pleinement conscient de soi peut- être enfin, mais conscient surtout de n'avoir passé sa vie qu'à la bousiller, qu'à la ruiner., sans savoir si l'on a, ou non, ne serait- ce qu'inconsciemment, réalisé ce qu'au fond de soi- même l'on n'aura jamais cessé de désirer.encou... encou...ragés par le jeu des identifications avec ce et ceux qui à soi extrinsèques sont, et dont la laideur n'apparaîtra qu'au crépuscule de la vie, si on a la chance, ou la malchance, de vivre jusque- là, et l'on se met alors, si on en a la force, une force inquiète et lasse, à trépigner, à se maudire jusqu'à ce que l'on crève, pleinement conscient de soi peut- être enfin, mais conscient surtout de n'avoir passé sa vie qu'à la bousiller, qu'à la ruiner., sans savoir si l'on a, ou non, ne serait- ce qu'inconsciemment, réalisé ce qu'au fond de soi- même l'on n'aura jamais cessé de désirer.ragés par le jeu des identifications avec ce et ceux qui à soi extrinsèques sont, et dont la laideur n'apparaîtra qu'au crépuscule de la vie, si on a la chance, ou la malchance, de vivre jusque- là, et l'on se met alors, si on en a la force, une force inquiète et lasse, à trépigner, à se maudire jusqu'à ce que l'on crève, pleinement conscient de soi peut- être enfin, mais conscient surtout de n'avoir passé sa vie qu'à la bousiller, qu'à la ruiner., sans savoir si l'on a, ou non, ne serait- ce qu'inconsciemment, réalisé ce qu'au fond de soi- même l'on n'aura jamais cessé de désirer.

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